Les ministres
Mme Elisabeth BORNE, ministre d'État, ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche ;
M. Manuel VALLS, ministre d'État, ministre des Outre-mer ;
M. Gérald DARMANIN, ministre d'État, garde des Sceaux, ministre de la Justice ;
M. Bruno RETAILLEAU, ministre d'État, ministre de l'Intérieur ;
M. Bruno LE MAIRE, ministre d'État, ministre des Armées et des Anciens combattants ;
Mme Catherine VAUTRIN, ministre du Travail, de la Santé, des Solidarités, des Familles, de l'Autonomie et des Personnes handicapées ;
Mme Rachida DATI, ministre de la Culture ;
M. Roland LESCURE, ministre de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et énergétique ;
M. Jean-Noël BARROT, ministre de l'Europe et des Affaires étrangères ;
M. Eric WOERTH, ministre de l'Aménagement du territoire, de la Décentralisation et du Logement ;
Mme Agnès PANNIER-RUNACHER, ministre de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche ;
Mme Annie GENEVARD, ministre de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire ;
Mme Amélie de MONTCHALIN, ministre des Comptes publics ;
Mme Naïma MOUTCHOU, ministre de la Transformation et de la Fonction publique, de l'Intelligence artificielle et du Numérique ;
M. Philippe TABAROT, ministre des Transports ;
Mme Marina FERRARI, ministre des Sports, de la Jeunesse et de la Vie associative ;
Les ministres délégués auprès du Premier ministre :
Mme Aurore BERGÉ, chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations, porte-parole du Gouvernement ;
M. Mathieu LEFÈVRE, chargé des relations avec le Parlement.
Le Président de la République réunira l'ensemble des membres du Gouvernement pour un conseil des ministres qui se tiendra demain à 16 heures.
Réactions hostiles de l'opposition
Jordan Bardella a raillé la composition du gouvernement, "composé des derniers macronistes agrippés au radeau de la Méduse". Le président du Rassemblement national a réitéré les menaces de censure.
Jean-Luc Mélenchon a qualifié l'équipe de Sébastien Lecornu de "cortège de revenants à 80% de LR et anciens LR". Le leader de La France insoumise s'est dit convaincu qu'il "ne tiendra pas".